10 novembre 2010
Là-haut
De ma tour de verre je vois le monde différemment, j'ai souvent l'impression d'observer une vie en miniature, un concentré d'urbanisme.
Les passants sont des fourmis affairées et les bus des jouets pour enfant.
La tour est très bien isolée, c'est à peine si l'on entend le grondement de la ville, un peu comme un film muet projeté sous mes pieds.
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